L'enfant indien était dans l'ensemble livré à lui-même et grandissait librement au sein de leur tribu sans être vraiment soumis a beaucoup d'autorité parentale.
Même si les indiens adoraient leurs enfants, il n'était pas de coutume d'exprimer cette affection.
En règle générale, l'enfant indien était en bonne santé, et peu enclin aux maladies courantes chez le enfants blancs, comme la rougeole, ou la toux.
Celui-ci avait une existence difficile dès sa plus tendre enfance, il était endurant et insensible a la privation et aux épreuves de la vie.